La Bérézina

Après les batailles de Smolensk et de la Moskova, Napoléon arriva devant les portes de Moscou en vainqueur. C'était le 14 septembre 1812.
Mais, à partir de ce moment-là, ce fut le début de la fin. Moscou fut incendié. L'empereur décida de la retraite de son arméee. Ils étaient 700 000 hommes au début de la capmagne de Russie. Ils n'étaient plus que 49 000 devant une rivière marécageuse, la Bérézina.
Attention castelneuviens !!! Il ne faudrait pas reproduire ce qui s'est passé il y a presque deux siècles.
Après des succès larges et mérités face à des adversaires que l'on attendait plus vaillants, la facilité ou la suffisance nous auraient-elles gagnés ???
Effectivement, face à St Pryvé, à Jargeau ou à Aubigny, notre maîtrise physique et technique du match ne laissait pas imaginer une telle déconvenue face à l'ECO, dernier du classement ...
Pourtant, les joueurs choisis étaient de qualité mais quelqu'un a allumé un incendie à Orléans qu'l faudra éteindre rapidement.
Nous n'avons pas battu en retraite encore !!!!
Une nouvelle bataille nous attend à Châteauneuf face à Dreux avec le retour des quatre fantastiques : La torche, l'homme élastique, la femme invisible et surtout la chose.
Je ne rentrerai pas dans les polémiques stériles ! A vous de reconnaître ces super-héros !!!
Ensemble, évitons de nous retrouver devant la Bérézina ! Nous avons une équipe mûre pour la R2. Ne râtons pas le coche !!!

C'est le moment des remerciements :
- merci à Michèle pour avoir organisé un magnifique buffet après le match face à Aubigny;
- merci à Nono d'avoir bien énervé son copain guéguette en se précipitant pour lui donner un rouge direct à la place de Mehdi qui en salivait d'avance;

- merci à l'équipe 2 de motiver l'équipe 1 en étant première du championnat excellence et postulante à la montée en R3.

A très bientôt pour de nouvelles avantures !